xuryLes heureux élus ont ensuite vu leur notoriété et donc leurs ventes exploser - globalement. En France,sac longchamp pliage grand pas cher, Sarah Lerfel, la directrice artistique et acheteuse de la boutique Colette est ainsi approchée du lundi au dimanche par les créateurs du monde entier qui espérent attirer son attention, et qui sait? Exposer un jour dans sa mythique vitrine.La créatrice Serpui Marie en pleine prise de commande au Salon des accessoires Premiere ClasseLe véritable coeurde la Mode, ce sont les dizaines de Salons professionels étalés sur des kilomètres d'allées bordées de part et d'autres de collections venues du monde entier. Les acheteuses vont les arpenter pendant 4 ou 6 jours d'un bout à l'autre à la recherche de la création interessante et commerciale.Cecilia Prado en plein rendez-vous au TranoïLes stands présentent tout ce qui se portera sur les mains, la tête,vrai sac longchamp pliage, les pieds, le cou ou le corps des l'automne prochain, premiere livraison en juillet,sac longchamps pliage pas chère. 4 jours, le temps est précieux. Les achats se passent aussi dans les centaines de chambres de palace et les innombrables galeries transformées en showrooms éphémères payés rubis sur l'ongle la semaine pour peu qu'elles se trouvent bien placées. Les lits enlevés, les tableaux décrochés et les murs encombrés de portants croulent sous les collections.  Les tables sont couvertes de brochures et les bons de commandes sont prêts. Ce sont  les maisons temporaires des nomades de la mode.La collection d'Hiver 2014 du modiste légendaire Stephen Jones à Premiere Classe aux Tuileries.Si certains créateurs sont déjà établis dans leurs pays et viennent à Paris confirmer ou rechercher une reconnaissance internationale, d'autre encore viennent ici terminer la saison et boucler les commandes prises à New York, Londres ou Milan. Mais la majorité des créateurs arrive le carnet de commande vide avec seulement 4 ou 7 jours pour justifier de 6 mois de labeur.Premier jour au London Showrooms, on vérifie une dernière fois si les prix sont compétitifs.Une bonne saison c'est l'assurance de pouvoir continuer à travailler, de communiquer avec la presse sur les points de vente, et de rassurer le banquier. Une saison désastreuse et tout est à refaire. La pression et les enjeux sont énormes et de saison en saison la crise se ressent et mets les jeunes marques dans des situations difficiles. Tous les six mois des places se 'liberent' dans les salons les plus convoités. Faute de budget ils laissent la place chaude à une nouvelle marque qui va chercher à se faire connaitre.C'est un tango difficile entre les acheteurs et les créateurs. Les boutiques ont besoin de  sang neuf mais se méfie de la capacité des petites marques à produire ou livrer une qualité identique au showroom.  Les créateurs, eux, balancent la réputation financière et la visibilité 'mode' de la boutique, sa position géographique avec peut-être un compétiteur plus solvable ou plus réputé à proximité, pour accepter un ordre plus ou moins gros souvent en priant qu'ils pourront prod Related articles:

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