ir alors qu'ils étaient déjà trop vieux, usés. Ils n'avaient plus envie de réformer !" Il arrive aussi qu'un écrivain remarque, comme Alexandre Jardin, que "malgré une détermination évidente, il manque à Sarkozy le sens profond des choses". Mais il est rare que l'on ne sorte pas un peu bluffé de l'Elysée. Et pour un chef de l'Etat qui bat des records d'impopularité, ces moments de charme ne peuvent être négligés.C'est en tout cas l'un des buts du jeu. A l'automne 2010, lorsque Eric Zemmour et ses compagnons étaient déjà venus déjeuner à l'Elysée, Nicolas Sarkozy avait été enchanté de ce que Denis Tillinac appelle lui-même leur "réceptivité",lacoste femme. Certes,lacoste enfant, on avait surtout bavardé de Céline, l'écrivain favori du président, et de Stendhal, dont il déteste le Fabrice del Dongo dans La Chartreuse de Parme : "Un bellâtre !" Mais le chef de l'Etat avait été ravi d'entendre plus tard Eric Zemmour lui découvrir, dans une de ses chroniques, des accents gaulliens.De voir Denis Tillinac, le plus corrézien des chiraquiens, lui trouver du "panache",polo lacoste pas cher. Et de constater que Yann Moix, l'auteur de Podium (2004) –,lacoste pas cher; ce film sur Claude François qui lui a "tant plu" –, imaginait tout naturellement, bien qu'il assure n'avoir jamais voté, une formule que le président demanda à Alain Carignon de noter : "La gauche, c'est 'je sais' ; la droite, c'est 'j'essaie'.""L'INFLUENCE BOBO DE CARLA"Le lendemain du remaniement ministériel du 14 novembre 2010, Yann Moix avait d'ailleurs fait mieux encore, en écrivant dans Le Figaro une chronique qu'Alain Carignon lut triomphalement au président: "A l'instar de François Mitterrand,pull lacoste pas cher, il est remarquable de noter que Nicolas Sarkozy n'a pas peur du courage. Nous avions,polo lacoste pas cher, sous l'ère Chirac, une présidence qui mettait les idées en boîte; avec Nicolas Sarkozy, force est de reconnaître que nous avons une boîte à idées."Ce mercredi 23 mars,polo lacoste pas cher homme, pour leurs retrouvailles,polo lacoste femme, le déjeuner a pris un tour plus politique. Il faut dire que, si Yann Moix se tient prudemment en retrait des débats partisans, Denis Tillinac et Eric Zemmour sont bien plus engagés. Le premier est l'un de ceux qui s'inquiètent discrètement de "l'influence bobo de Carla". Lorsque l'épouse du chef de l'Etat a poussé son mari à défendre le ministre de la culture Frédéric Mitterrand, accusé, notamment, par Marine Le Pen d'avoir promu dans son livre La Mauvaise Vie (Robert Laffont, 2005) sur la prostitution de jeunes garçons, il fut l'un de ceux qui allèrent dire au président "avec ça, tu as perdu 500000 voix parmi les catholiques".Le second est un redoutable débatteur. Bien plus bavard que Nicolas Sarkozy. Bien plus à droite, aussi. Les deux hommes se connaissent depuis vingt ans et se tutoient. "Mais je ne l'ai pas vu les trois premières années de son mandat", affirme Eric Zemmour, qui reprochait au président, il y a peu, de vouloir "américaniser la France"."L'OBSESSION" GÊNANTE DE ZEMMOUREtre une figure de la télévision a cependant donné au journaliste l'habitude d'interro Related articles:

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