![]() |
![]() ![]() ![]() ![]() ![]() |
![]() ![]() |
News | |
![]() |
![]() |
![]() ![]() |
Author | Message |
dfgtq8j9tw
Newbie ![]() Joined: Apr 29 2013 Location: United Kingdom Online Status: Offline Posts: 12 |
![]() ![]() ![]() Posted: Apr 29 2013 at 11:28am |
nnonces immo Tirages photo Rencontres Shopping Comparateur crédit Devis travaux Conjugaison Programme télé Jeux Météo Trafic Prix de l'immobilier Sur le web Spectacles paris Programme TNT T l films S lection de livres S ries TVLes sites du GroupeTélérama.fr Talents.fr Le Huffington Post CourrierInternational.com Monde-Diplomatique.fr Les Rencontres professionnelles Le Monde La Société des lecteurs du Monde Le Prix Le Monde de la recherche"Pieta" : un Lion d'or qui fait froid dans le dos
Le MondeTélérama Le Monde diplomatique Le Huffington Post Courrier international La Vie au Jardin S'abonner au Monde àpartir de 1 Services Le Monde édition abonné Pieta : un Lion d'or qui fait froid dans le dosLe Monde| 09.04.2013 13h32 Mis à jour le09.04.2013 14h01Par Thomas Sotinel Lion d'or de la dernière Mostra de Venise, Pieta marque l'achèvement du retour de Kim Ki-duk. Révélé au public international par L'Ile (2000), le cinéaste coréen a proposé un ou deux longs-métrages chaque année jusqu'en 2008, multipliant les thèmes, les manières, les formats. Vint ensuite un silence de trois ans dont on apprit, à sa réapparition en 2011, qu'il était la séquelle d'une dépression, chroniquée dans un étrange objet intitulé Arirang, autoportrait glissant vers l'imaginaire qui fut immédiatement suivi par un autre film brut de forme et de fond : Amen.Le Monde.fr a le plaisir de vous offrir la lecture de cet article habituellement réservé aux abonnés du Monde.fr.Profitez de tous les articles réservés du Monde.fr en vous abonnant à partir de 1 / mois | Découvrez l'édition abonnésComme les longs-métrages qui établirent la réputation (controversée) de Kim Ki-duk, L'Ile ou Printemps, été, automne, hiver... et printemps, Pieta relève de la pure fiction. On y retrouvera le penchant pour la violence grotesque que le cinéaste partage avec nombre de ses confrères et compatriotes et un souci formaliste, inspiré cette fois de l'imagerie chrétienne (Printemps, été... rendait hommage à l'iconographie bouddhiste). Il n'est sans doute pas besoin d'avoir eu connaissance de l'épreuve qu'a traversée le réalisateur pour en ressentir la douleur désespérée, la compassion profonde. Elles donnent à cette Pieta une densité, une intensité qu'on n'avait pas trouvées dans les films précédents de Kim Ki-duk.Kang-do est un beau garçon au regard mort. Il vit seul dans un appartement en désordre, où il se nourrit d'animaux morts (sa façon d'accommoder le poisson ou le poulet incite avec persuasion au végétalisme). Il n'aime personne, satisfait tout seul ses pulsions. Quand il sort de chez lui, c'est pour terroriser les artisans du quartier de petits ateliers de métallurgie dans lequel il habite. Recouvreur de dettes, Kang-do mène à bien sa mission en mutilant les débiteurs afin de toucher l'assurance pour invalidité qu'ils percevront. Bref, Kang-do est un être abject qui n'appartient à l'espèce humaine que pour mieux lui nuire.Les séquences d'exposition impressionnent profondément (la Related articles: |
|
![]() |
|
![]() ![]() |
||
Forum Jump |
You cannot post new topics in this forum You cannot reply to topics in this forum You cannot delete your posts in this forum You cannot edit your posts in this forum You cannot create polls in this forum You cannot vote in polls in this forum |