pays puissent y participer. Cinq nouvelles nations rejoignirent l'épreuve, dont l'Angleterre, avec Manchester United. Depuis lors, le nombre de participants ne cessa d'augmenter, comme celui des spectateurs, comme l'audience et les recettes liées aux droits de retransmission télévisée.Aujourd'hui, elle accueille, outre les champions nationaux, les équipes ayant terminé 2e, 3e et même 4e de leur championnat, selon le classement des 53 pays membres de l'UEFA. Cette augmentation du nombre de clubs engagés et la formule des poules de qualification pour les huitièmes de finale, http://crdp.ac-bordeaux.fr/monster.asp - casque monster beats , qui permettent à trente-deux clubs de disputer chacun six matchs, s'expliquent en partie par des raisons financières.Cette compétition se révèle en effet aussi lucrative que prestigieuse. Pour la saison 2011-2012, http://crdp.ac-bordeaux.fr/monster.asp - monster beat by dre , l'UEFA a redistribué 754,1 millions d'euros aux divers participants provenant des droits de retransmission télévisée versés par les chaînes, dont environ 60 millions au vainqueur (Chelsea) et 41,7 au finaliste malheureux (Bayern Munich), en tenant compte des primes cumulées et des droits télé spécifiques.910 MILLIONS D'EUROS AUX 32 CLUBSPour 2012-2013, l'UEFA distribuera 910 millions d'euros aux 32 clubs ayant disputé les phases de poule, où ceux qui sont éliminés recevront malgré tout 8,6 millions d'euros, le reste étant réparti en fonction des résultats, le vainqueur recevant une prime de 10,5 millions supplémentaires.Selon Wladimir Andreff, professeur émérite à l'université de Paris-I, spécialiste des firmes multinationales et de l'économie du sport, http://www.raybanwayfarer2140.com - ray ban rb2140 , les grands clubs européens de football s'apparentent de plus en plus à des entreprises transnationales (Les grands clubs de football : des firmes transnationales ?, La Documentation française, juillet-août 2010).En effet, un certain nombre de clubs sont la propriété de ressortissants extérieurs aux pays où ils évoluent, leurs meilleurs joueurs sont également souvent étrangers, ainsi que leurs entraîneurs. A cela s'ajoute le risque de matchs truqués, comme l'a montré la récente enquête de l'office européen de police Europol, dénonçant une vaste entreprise de corruption internationale, qui aurait concerné 380 matchs de football, dont deux de Ligue des champions.L'arrêt Bosman, formulé par la Cour de justice des communautés européennes le 15 décembre 1995, a joué un rôle déterminant dans l'internationalisation des joueurs, en interdisant les "discriminations" touchant les joueurs ressortissants de l'Union européenne, puisque jusque-là les clubs ne pouvaient utiliser que trois joueurs non nationaux.GAGNER LA LIGUE DES CHAMPIONSDésormais, un club peut avoir sur le terrain onze joueurs "européens" et aucun "national", cette possibilité étant étendue aux joueurs d'Afrique, des Caraïbes et du Pacifique (accord de Cotonou) et à ceux de Suisse et de Russie. Pour les clubs français de Ligue 1, la seule limite concernant la nationalité est de n'avoir sous contrat que quatre joueurs au maximum ne répondant pas à ces critèRelated articles:
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