ondor et Rapha sont deux des entreprises avec lesquelles nous avons collaboré pour sortir des éditions spéciales de bicyclettes et de maillots, http://www.clesjustice64.fr/monsterbeats.asp - Monster Beats .Aujourd'hui, on peut se faire fabriquer un vélo comme on se fait tailler un costume sur mesure, en choisissant l'équipement et la couleur de son choix, y compris les mélanges les plus originaux. Vous pouvez très bien demander, http://www.clesjustice64.fr/monsterbeats.asp - monster beat dr dre , si cela vous chante, que les roues, http://www.destinationreussite.fr/casquemonster.asp - monster beat , les chaînes et la guidoline soient vert citron ou orange vif. Dans mon entreprise, beaucoup de gens viennent travailler à vélo, et il est très facile de faire le rapprochement entre un vélo et son propriétaire. C'est un bon exemple de manifestation du caractère britannique : nous aimons nous distinguer.Traduit de l'anglais par Gilles BertonPaul SmithLes Chinoises disqualifiées et meurtries se livrent sur leurs microblogs | L'empire Weibo
A Wimbledon, le Pimm's n'a qu'un vague goût de gin
édition abonnéA Wimbledon, le Pimm's n'a qu'un vague goût de ginLe Monde| 02.08.2012 à 11h16• Mis à jour le02.08.2012 à 16h36Par Marc Roche Les habitués du tournoi de Wimbledon ont appris à reconnaître la haute silhouette du journaliste Neil Harman, bien raide sur le banc de la presse, grattant son bloc-notes avec une rapidité étonnante. "C'est Wimbledon sans être vraiment Wimbledon", confie le vétéran du Times au sujet de la compétition olympique de tennis qui se déroule actuellement sur les pelouses à la patine inimitable de l'Old England Lawn Tennis and Croquet Club.Le Monde.fr a le plaisir de vous offrir la lecture de cet article habituellement réservé aux abonnés du Monde.fr.Profitez de tous les articles réservés du Monde.fr en vous abonnant à partir de 1€ / mois | Découvrez l'édition abonnésOn serait décontenancé à moins. L'habitué des internationaux d'Angleterre débarqué ces jours-ci à "SW19" éprouve une sorte de vertige. Sur les courts, les maillots aux couleurs nationales au lieu du blanc réglementaire, la foule moins connaisseuse et plus partisane, le violet des bâches et la musique disco déroutent. Les invités de la tribune d'honneur, dont certains sont en survêtement de sport, utilisent leur portable au mépris de l'interdit. La légion de messieurs au blazer strict et de dames portant chapeau de paille et de tulle aux tons pastel sont absents.En outre, le visiteur se cogne sans cesse à la couleur électrique des logos omniprésents et racoleurs des sponsors des Jex olympiques. Or, lors des internationaux de Grande-Bretagne, les sigles publicitaires autorisés sont rares et discrets. Une échoppe offrant de "vraies saucisses anglaises" est installée à proximité du court n°18. La chair des fraises de légende a perdu de sa fermeté, la crème manque d'épaisseur et le Pimm's n'a qu'un vague goût de gin. Enfin, à l'exception de Neil et de quelques confrères, la tribune des médias est désertée en dépit du retentissement planétaire des Jeux et de la présence de tous les ténors de la raquette.Au demeurant, le constat est identique
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