t aussi que nous ne ferons plus ce que nous avons fait pour la Grèce. Mais alors, pourquoi l'avons nous fait ?", demande M, http://www.pololacosteepascher.fr - lacoste pas chere . Bayrou.M. Bayrou s'était déjà livré, mercredi 30 novembre, à une vive critique de la politique menée par M. Sarkozy sur la scène européenne. Il avait alors fustigé le "condominium" franco-allemand, en estimant que M. Sarkozy "se trompe de stratégie".Le député béarnais, en ce mois de décembre, est entré en campagne. Mercredi, il a tracé son propre programme de candidat, en cinq points, pour répondre à la crise européenne : "Sécuriser la dette des Etats de la zone euro" grâce à "l'engagement de la Banque centrale européenne" , http://www.saclongchampppascher.fr - sacs longchamps ; "garantir le refinancement de la dette des Etats en difficultés à des taux raisonnables" ; "négocier en échange avec ces Etats les décisions nécessaires pour leur redressement" ; modifier les institutions européennes, avec notamment "l'élection d'un président, un jour, au suffrage universel" ; et retrouver "les principes de la méthode communautaire" où "les minorités sont respectées". C'est sur ce dernier point qu'il choisit d'appuyer."Que restera-t-il de l'Europe si l'euro disparaît ?" édition abonné"Que restera-t-il de l'Europe si l'euro disparaît ?"Le Monde| 02.12, http://www.raybanlunettespascher.fr - lunettes ray ban soleil .2011 à 12h58• Mis à jour le02.12.2011 à 12h58 Extraits du discours du président de la République, Nicolas Sarkozy, jeudi 1er décembre au Zénith de Toulon.Le Monde.fr a le plaisir de vous offrir la lecture de cet article habituellement réservé aux abonnés du Monde.fr.Profitez de tous les articles réservés du Monde.fr en vous abonnant à partir de 1 / mois | Découvrez l'édition abonnés"La France face à la crise. (...) En septembre 2008, ici, à Toulon, au coeur de la tourmente, j'avais tracé une perspective : celle d'un capitalisme de production, d'une mondialisation régulée, d'une finance encadrée, d'un développement durable, d'un nouveau rôle pour l'Etat dans l'économie, d'une nouvelle gouvernance européenne et mondiale.(...) La politique de la France s'est résolument inscrite depuis quatre ans dans cette perspective. Pas un jour je n'ai renoncé à un seul de ces objectifs.(...) Mais aujourd'hui, la peur est revenue. Cette peur qui détruit la confiance. Cette peur qui paralyse les consommateurs, qui empêche l'investisseur d'investir, l'entrepreneur d'entreprendre, le patron d'embaucher, le banquier de prêter. Cette peur porte un nom : c'est la peur pour la France de perdre la maîtrise de son destin. La seule façon de conjurer cette peur c'est de dire la vérité. La vérité, c'est que la crise n'est pas finie et qu'il ne peut pas y avoir de projet politique qui ne procède d'un diagnostic de la crise et de son ampleur. Nier la crise c'est s'interdire toute perspective d'avenir.(...) Je ne crois pas qu'il serait économiquement juste, ni moralement acceptable d'imputer aux Français les difficultés que nous vivons.(...) Il y a un autre choix possible. Celui de répondre à la crise par le travail, par l'ef
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