oissance. Ce qui est gravé dans le marbre, c'est le retour à l'équilibre ; la variable, la date butoir.Reine du déficit, la France n'est pas la mieux placée pour défendre le "déficit structurel". Mais la cause méritait que M. Hollande prît ce risque.Editorial"Accords compétitivité-emploi" : les louvoiements de la majorité "Accords compétitivité-emploi" : les louvoiements de la majoritéLe Monde| 11, http://www.poloralphlaureenpascher.fr - chemise ralph lauren .09.2012 à 15h43• Mis à jour le05.03.2013 à 13h53Par Samuel Laurent François Hollande relance le chantier de la "flexi-sécurité" et change quelque peu de braquet sur les accords de compétitivité. Dimanche 8 septembre, le chef de l'Etat a évoqué, lors de son intervention sur TF1, la nécessité de "réformer le marché du travail, pour que ce soit plus souple et en même temps plus protecteur". Pour ce faire, il juge qu'il pourrait être possible aux entreprises "de recourir au travail partiel en cas de période difficile", si cela se fait "dans le dialogue social". Un avis partagé par le premier ministre. Mardi 10 septembre, au micro d'Europe 1, http://www.saclongchampppascher.fr - sacs longchamps pas cher , M. Ayrault a estimé nécessaire de "trouver un compromis (...) Il faut donc donner des garanties aux salariés, et en même temps savoir tenir compte de certaines réalités, http://www.poloralphlaureenpascher.fr - survetement ralph lauren ." Si le mot n'est pas prononcé, le couple exécutif évoque bel et bien le concept de "flexi-sécurité", qui tente d'associer une plus grande flexibilité salariale en échange d'une plus grande sécurité en matière d'emploi. Un discours qui n'est pas sans rappeler celui tenu début 2012 par... Nicolas Sarkozy, qui avait lancé une négociation en la matière au début de l'année. Retour sur les louvoiements de la majorité sur ces questions.Un chantier lancé par Nicolas SarkozyLe président sortant avait en effet lancé, à la fin janvier, une grande négociation baptisée "accords compétitivité-emploi". Il s'agissait, selon les mots du président-candidat d'alors, de demander "aux partenaires sociaux de négocier ces accords compétitivité-emploi dans les deux mois qui viennent", afin qu'"une majorité de salariés" puisse se mettre "d'accord dans une entreprise pour décider leur durée de travail, de privilégier le salaire sur l'emploi...".Une manière d'en finir avec la durée légale du travail en permettant à une entreprise de moduler le temps de travail en fonction de l'activité via un accord collectif et non plus un accord individuel. Si la CGT et FO accueillent l'idée avec de fortes réticences, la CFDT et le Medef se disent prêts à en débattre.Hollande entre "faux prétexte" et renégociationLa gauche est alors vent debout contre cette idée, et le fait savoir. "Il faut que les salariés le sachent, il n'y aura plus de code du travail, il n'y aura plus de loi qui les protégera", s'était emporté Benoît Hamon, alors porte-parole du PS, à cette annonce.Le candidat socialiste, François Hollande, évacuait la question : "La compétitivité est un faux prétexte. Ce n'est pas en baissant de quelques points les cot
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