de Sales donnait aux femmes pour qu'elles unissent à leurs devoirs religieux, à leur apostolat, à leurs oeuvres de miséricorde, les occupations de la femme forte: «le soin de la famille, avec les oeuvres qui dépendent d'iceluy», ainsi que « http://www.frsogo.info - Sac Louis Vuitton ;l'utile diligence» qui ne permet pas à l'oisiveté de prendre la place destinée au travail[193].
Deux femmes, entrées par le mariage dans la famille de La Rochefoucauld, donnèrent au XVIIe et au XVIIIe siècles l'exemple de la femme forte, de la ménagère, aussi bien à la ville qu'aux champs. C'est au XVIIe siècle, Jeanne de Schomberg, duchesse de Liancourt; c'est, dans le siècle suivant, Augustine de Montmirail, duchesse de Doudeauville, dont l'existence se prolongea jusque dans le XIXe siècle. Dans leur conduite, dans les conseils que l'une écrivit pour sa fille, l'autre pour sa petite-fille; dans le règlement que Mme de Liancourt traça pour elle-même, nous voyons combien important était pour les plus grandes dames le gouvernement de la maison, et par quelles fortes et douces vertus elles soutenaient leurs foyers.
A une époque postérieure http://www.guccisacpascherfr.com - Gucci , Laure de Fitz-James, marquise de Bouzolz, fille du maréchal de Berwick, n'avait jamais, dit-on, les mains inoccupées; et http://www.guccisacpascherfr.com - Sac Gucci , cette grande dame ne couchait que dans les draps dont sa main patricienne avait filé la toile[194]. Les quenouilles dites de mariage, que l'on voit au musée dé Cluny et qui datent du XVIe siècle, rappelaient aux femmes, dans leurs riches sculptures, l'histoire de ces femmes fortes qui filaient la laine et le lin.
Ce gouvernement domestique est vaste. La femme surveille les affaires de la maison, et elle en soumet l'ensemble à son mari, le chef respecté de la communauté. Elle vérifie les dé http://www.louisvuittonsacsoldespascher.info - Louis Vuitton ;penses de la veille, celles de la semaine; elle arrête le compte du mois. A l'aide de conseils éclairés, elle revoit le compte général de l'année. Lorsqu'elle l'a signé en double expédition, elle le fait placer avec les pièces justificatives dans une cassette de bois qui est déposée «au trésor des papiers». Pour l'anné http://www.louisvuittonlvsacpascher.com - Louis Vuitton Sac ;e suivante, elle fait un état gé http://www.guccisacpascherfr.com - Gucci Pas Cher ;néral des dépenses, par estimation, et d'après la moyenne des trois à quatre années précédentes. Elle y fait figurer le train de la maison de ville et les dépenses de la vie rurale. Elle tient compte aussi des dépenses imprévues. La femme chrétienne payera exactement ses serviteurs, ses fournisseurs. Faire des dettes, c'est retenir injustement le bien d'autrui. La noble dame évitera le luxe des habits http://www.louisvuittonlvsacpascher.com - Louis Vuitton Pas Cher , des meubles, de la table. Bonne et hospitalière d'ailleurs, elle établira l'ordre dans la bienséance et dans la géné http://www.louisvuittonlvsacpascher.com - Louis Vuitton ;rosité. Elle n'oubliera pas non plus qu'il faut donner aux pauvres le superflu de son bien.
[Note 193: Saint François de Sales, Introduction à la vie décote. 111e partie, ch. XXXV.]
Dans la vie rurale, les nobles dames veillent aux intérêts de l'exploitation agricole et n'en dédaignent pas l'humble détail. La châtelaine envoie ses serviteurs aux champs et garnit leur besace. Lorsque Sully était à la cour http://www.louisvuittonlvsacpascher.com - http://www.louisvuittonlvsacpascher.com , sa femme vendait le blé et les autres récoltes.
La châtelaine peut également être associée aux affaires extérieures du châtelain: le choix des officiers qui rendent
[Note 194: Anne-Paule-Dominique de Noailles, marquise de Montagu.]
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