lui, "jeudi soir, les Français attendaient le président et il a voulu affirmer de manière très forte qu'il était bien à la barre". "Nous savons où nous allons", http://www.polopascherlacoste.com - polo lacoste , http://zuolingyouli.com/forum.php?mod=viewthread&tid=740979 - http://zuolingyouli.com/forum.php?mod=viewthread&tid=740979 , assure l'ancien maire de Nantes.Jean-Marc Ayrault a cependant profité de cette interview pour se démarquer de François Hollande, qui a affirmé jeudi qu'il n'était "pas un président socialiste". "Oui, je suis un premier ministre socialiste. J'assume totalement mon identité politique", explique l'ancien président du groupe PS à l'Assemblée. "Je suis aussi un républicain", poursuit-il. "Et j'agis pour l'intérêt général du pays", http://www.jz51jz.com/home/space.php?uid=135472&do=blog&id=1003062 - http://www.jz51jz.com/home/space.php?uid=135472&do=blog&id=1003062 . Pour lui, M. Hollande n'a pas pris ses distances avec sa famille politique mais "n'a fait que rappeler qu'il était président de tous les Français".Petit souvenir douloureux pour la nouvelle directrice de cabinet de Mme Taubira Petit souvenir douloureux pour la nouvelle directrice de cabinet de Mme TaubiraLe Monde| 29.03.2013 à 19h46• Mis à jour le30.03.2013 à 09h37Par Franck Johannès Christine Maugüé, nommée mercredi 27 mars directrice de cabinet de la garde des sceaux en remplacement de Christian Vigouroux, http://www.polopascherlacoste.com - robe lacoste pas cher , a essuyé un premier coup de grisou avant même d'avoir pu poser ses valises place Vendôme. "Quand le bras droit de Taubira refusait l'adoption aux homosexuels", a titré mardi le Figaro, à la veille de l'examen au Sénat du projet de loi sur le "mariage pour tous", et la conseillère d'Etat semblait ainsi nettement en porte-à-faux avec son ministre.L'affaire est un peu plus compliquée, http://www.socoolstyle.com/home.php?mod=space&uid=183339&do=blog&id=2565238 - http://www.socoolstyle.com/home.php?mod=space&uid=183339&do=blog&id=2565238 . Mme Maugüé avait en effet estimé, en 1996, lorsqu'elle était commissaire du gouvernement, c'est-à-dire chargée de dire le droit lors des audiences du Conseil d'Etat, que le département de Paris avait eu raison de refuser l'agrément à un homosexuel qui voulait adopter. "Dénier le droit à un célibataire homosexuel d'adopter un enfant conduit nécessairement, en s'opposant à la satisfaction du désir d'enfants des homosexuels, à nier le 'droit à l'indifférence' revendiqué aujourd'hui par les minorités homosexuelles et à introduire une discrimination contraire au principe (...) de la Convention européenne", avait reconnu la conseillère le 9 octobre 1996, dans un long argumentaire, mais "le droit de toute personne à avoir la vie sexuelle de son choix ne doit pas être confondu avec un hypothétique droit à l'enfant.""REMARQUABLES CONCLUSIONS"Par ailleurs, le risque pour l'enfant d'avoir "un modèle d'altérité sexuelle" ne fait pas l'unanimité chez les psychiatres, et l'opinion publique est "aussi divisée sur la question", http://www.polopascherlacoste.com - polo lacoste bebe , avait estimé la magistrate. En conséquence, "notre conviction est que, s'agissant d'une question aussi délicate et dont les implications sont davantage éthiques et sociologiques que juridiques, c'est au législateur de prendre position sur ce qui constitue un choix de société : le juge, quant à lui, n'a pas à précéder, mais à accompagner l'évolution de l'opinion publique." Seize ans plus tard, le législateur est précisément en train de se sais
|