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mais la chambre de l'instruction de la cour d'appel de Bordeaux avait confirmé leur renvoi, le 13 juin 2006, http://www.sacilongchamppascher.fr - sac longchamp pliage pas cher .L'arrêt précise que, "de l'avis d'un grand nombre de soignants, le jugement et la réflexion professionnels tant du docteur Laurence Tramois que de Chantal Chanel avaient été faussés par le contexte émotionnel et les relations affectives entourant le cas de Paulette Druais", http://www.lacostepascheripolo.com/ - pull lacoste . Toutes deux connaissaient bien la malade. Le médecin ayant même un lien de parenté avec Paulette Druais, dont le fils, Laurent, est le compagnon de Sophie Tramois, soeur de Laurence et aide-soignante dans le même établissement. Entendue à l'instruction, le médecin a confirmé avoir fait "une prescription illégale", "sous le coup d'une pression psychologique, familiale et sentimentale très importante".Devant les enquêteurs, elle indiquait qu'elle avait décidé d'agir afin de "préserver la dignité" de la malade, dont l'état se serait brusquement aggravé, le 25 août au soir. Selon elle, les limites du palliatif étaient "dépassées". Paulette Druais, qui bénéficiait d'un traitement morphinique afin d'atténuer ses douleurs, présentait, notamment, une occlusion intestinale susceptible de provoquer des vomissements de selles. Mme Tramois a reconnu qu'elle avait pris sa décision seule, précisant qu'elle avait demandé à l'infirmière de nuit de faire l'injection car elle ne se sentait pas capable de la réaliser elle-même.Pour sa part, Chantal Chanel admettait qu'elle connaissait les conséquences de l'injection de potassium à forte dose. "J'étais sous le choc parce qu'il s'agissait d'une prescription incroyable", a-t-elle confié, évoquant les consignes du docteur Tramois. Elle indiquait aussi s'être sentie "seule" mais avoir réalisé l'injection en pensant que la famille de Paulette Druais était au courant et qu'en agissant ainsi elle répondait à sa demande.En réalité, ni le fils ni le mari de la malade n'ont été mis au courant des projets de Laurence Tramois. Reste que ni l'un ni l'autre ne se sont constitués partie civile à l'instruction. Laurent, le fils de Mme Druais, a expliqué qu'il aurait préféré être associé à la décision, mais reconnaissait que l'injection létale avait "soulagé (la famille) d'un énorme poids". Il a précisé aux enquêteurs qu'à plusieurs reprises, au courant du mois d'août, sa mère avait fait savoir, "de vive voix", qu'elle souhaitait en finir avec la vie et qu'elle voulait "un produit pour partir".Marie Humbert et Frédéric Chaussoy, qui soutiennent les deux accusées depuis le départ de l'affaire, devraient être entendus comme témoin lors du procès de Périgueux. Mais si les associations qui militent pour le droit de mourir dans la dignité ont fait du cas de Chantal Chanel et de Laurence Tramois le symbole de leur combat, ces dernières ont tenu à préciser, au cours de l'enquête, http://www.sacilongchamppascher.fr - sacs longchamps pas cher , qu'elles ne se considéraient pas comme des militantes de l'euthanasie. Acacio Pereira - PÉRIGUEUX ENVOYÉ SPÉCIAL Claudine Lassen: "Soulager la souffrance est un acte de
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