14h11Par Laetitia ClavreulLeur stockage représente 424 kilomètres d'archives à gérer pour la Sécurité sociale, mais cela ne devrait pas durer. La Caisse nationale d'assurance-maladie a présenté, jeudi 1er décembre, sa stratégie pour progressivement se débarrasser des ordonnances papier. De quoi économiser de la place, du temps et épargner bien des arbres.Si les patients ne sont pas encore directement concernés, le quotidien des pharmaciens commence à changer. L'assurance-maladie a décidé de les aider à s'équiper du matériel qui leur permettra de graver les ordonnances sur des CD qu'ils lui enverront tous les quinze jours, http://www.burberrypaschersacburberry.com - manteau burberry col ceinturé . Pour l'instant, http://www.burberrypaschersacburberry.com - manteau burberry femme pas cher , traiter les ordonnances pour l'envoi aux caisses représente deux heures de travail chaque soir dans une officine moyenne. Dans les plus grandes, cela occupe parfois un salarié toute la journée.Le Monde.fr a le plaisir de vous offrir la lecture de cet article habituellement réservé aux abonnés du Monde.fr, http://www.burberrypaschersacburberry.com - burberry .Profitez de tous les articles réservés du Monde.fr en vous abonnant à partir de 1€ / mois | Découvrez l'édition abonnésDéjà, 900 pharmacies volontaires gravent désormais leurs ordonnances, et d'ici à un an, le système sera généralisé aux 23 000 officines. A terme, elles devraient passer à l'envoi électronique par un serveur sécurisé.L'assurance-maladie y voit aussi son intérêt. Ses caisses reçoivent 750 millions d'ordonnances par an, dont 550 millions des pharmaciens. Rien qu'à Paris, ce sont 6 tonnes de papier qui arrivent par camions chaque semaine. Leur traitement mobilise 4 000 agents.L'idée est qu'à l'avenir le patient n'ait plus d'ordonnance à remettre à la pharmacie (même s'il lui restera un volet pour lui). Il n'aura qu'un numéro à donner. Les pharmaciens, mais aussi les kinésithérapeutes ou les laboratoires d'analyse par exemple, iront consulter la prescription sur un portail Internet. Des expérimentations sont en cours. En plus des économies réalisées, ce sera un bon moyen de lutter contre les falsifications d'ordonnances, un problème que les pharmaciens connaissent bien.L'assurance-maladie envisage une généralisation du procédé entre 2014 et 2018. Difficile, de toute façon, d'être précis. La carte Vitale a beau avoir dix ans, les feuilles de soins n'ont pas vraiment disparu. Certes, les patients qui l'oublient souvent sont en partie fautifs, mais les médecins aussi : en 2011, encore 22 % ne "télétransmettent" pas les feuilles.L accès à la totalité de l article est protégé Déjà abonné ? Identifiez-vousL accès à la totalité de l article est protégé Déjà abonné ? Identifiez-vousLe monde abonnementsProfitez du journal où et quand vous voulez. Abonnements papier, offres 100 % numériques sur Web et tablette.S'abonner au Monde partir de 1 Les rubriques du Monde.frInternational Politique Société Économie Culture Sport Techno Style Vous Idées Planète Éducation Disparitions Santé Les services du MondeLa boutique du Monde Le Monde dans les hôtels Formation anglais Annonces auto AnnonceRelated articles:
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