ost CourrierInternational.com Monde-Diplomatique.fr Les Rencontres professionnelles Le Monde La Société des lecteurs du Monde Le Prix Le Monde de la recherche"Superprofits" les banques tentent de désamorcer la polémique
Le MondeTélérama Le Monde diplomatique Le Huffington Post Courrier international La Vie au Jardin S'abonner au Monde àpartir de 1 € Services Le Monde Superprofits les banques tentent de d samorcer la pol miqueLe Monde| 08.02.2006 12h40 Mis à jour le08.02.2006 13h26Par Anne MichelAvant même la publication de leurs résultats, les banques françaises se retrouvent sur la sellette. Elles sont accusées d'avoir dégagé des bénéfices excessifs et faciles grâce à des tarifs prohibitifs dans la banque de détail et pour le seul bonheur des actionnaires... Les profits records que s'apprêtent à annoncer, à compter du 15 février, BNP Paribas (près de 6 milliards d'euros, selon les estimations des analystes), la Société générale (4,3 milliards) ou le Crédit agricole (3,8 milliards) agacent. A elles seules, les "trois grandes" ont dégagé des bénéfices supérieurs au produit intérieur brut (PIB) de la Côte d'Ivoire, http://www.polopascherpolo.com - ralph lauren homme .Alain Bazot, le président de l'UFC-Que choisir, à l'origine du débat sur la taxation des bénéfices des groupes pétroliers, donne le ton "Nous ne sommes pas contre les profits, plaide-t-il, mais leur démesure montre des dysfonctionnements. La concurrence ne joue pas sur les tarifs des services ou le crédit renouvelable les banques alignant leurs prix les unes sur les autres , http://www.polopascherpolo.com - polo ralph lauren pas cher , et il reste coûteux de changer d'établissement 350 euros en moyenne, selon nos estimations." "Les gains ne sont pas équitablement redistribués entre clients, salariés et actionnaires", estime M. Bazot. Il suggère de créer une mission parlementaire pour vérifier l'intensité de la concurrence, notamment dans ces zones rurales où, souligne-t-il, "le Crédit agricole, par exemple, détient parfois plus de 40 % de part de marché".A L'AISE AVEC LA CRITIQUELes banques, elles, refusent d'endosser le rôle du coupable, dans ce procès qui leur est fait. Elles soulignent que la banque de détail en France représente une part décroissante de leurs profits 25 % du chiffre d'affaires et 20 % des bénéfices chez BNP Paribas ; 30 % du chiffre d'affaires et 20 % des bénéfices à la Société générale. "C'est le développement de nos activités internationales, bénéficiant de la très forte croissance mondiale, qui explique la forte progression de nos résultats, précise Baudouin Prot, le directeur général de BNP Paribas, la croissance en France étant lente, le chiffre d'affaires de la banque de détail n'y a augmenté que de plus de 5 %, http://www.polopascherpolo.com - polo ralph lauren femme , et cela uniquement parce que nous avons gagné des parts de marché. Le coût de nos prestations est resté globalement stable." Le PDG de la Société générale, Daniel Bouton, indique de son côté "Nos tarifs dans la banque de détail ont augmenté moins que l'inflation l'an dernier. Nos clients sont satisfaits de la qualité de nos serv
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