de couverture"). Jusqu'à présent, ils évoluaient en effet hors de tout contrôle aux Etats-Unis. Mais leur essor depuis 2000, et la multiplication des scandales, a obligé la SEC à intervenir.Les premiers gérants de "hedge funds" sont apparus aux Etats-Unis il y a déjà quelques dizaines d'années. Ces financiers, réputés pour leur audace, ont d'abord démarché une clientèle de particuliers richissimes, leur proposant de placer une partie de leur épargne à l'abri des aléas de la Bourse, http://www.polopascherpolo.com - polo ralph lauren pas cher . Ils ont utilisé des techniques de gestion inédites (arbitrage entre différentes places ou différentes valeurs sur un même marché, prises de paris sur des fusions d'entreprises, etc.), que s'interdisaient les gérants traditionnels.Leurs "boutiques", petites (pas plus d'une dizaine de collaborateurs), restent souvent localisées dans des niches fiscales américaines (l'Etat du Delaware) ou dans des paradis fiscaux à l'étranger (les îles Caïmans). Ils ont progressivement essaimé en Europe, à commencer par le Royaume-Uni. Et, au début des années 2000, ils ont attiré l'attention des investisseurs institutionnels (assureurs, fonds de pension), déçus par leurs pertes en Bourse, suite à l'éclatement de la bulle des valeurs technologiques. En 2004, 8 % des encours des fonds spéculatifs provenaient des institutionnels américains, selon la société de conseil Casey, Quirk Acito.Les "hedge funds" gèrent donc aujourd'hui, de manière indirecte, une fraction non négligeable de l'épargne retraite des particuliers. L'argument des gérants, selon lequel il fallait les laisser hors de tout contrôle car ils géraient l'argent d'investisseurs avisés, tenait donc de moins en moins. Par ailleurs, les cas de fraude se sont récemment multipliés, http://www.polopascherpolo.com - ralph lauren pas cher . En septembre 2005, Samuel Israel et Daniel Marino, deux responsables du fonds américain Bayou Management, ont reconnu avoir spolié leurs clients à hauteur de 450 millions de dollars...LE GENDARME AMÉRICAIN À LA TRAÎNEL'enregistrement auprès de la SEC suscite néanmoins des réticences. Beaucoup de fonds tenteraient d'y échapper. "Pour contourner cette nouvelle réglementation, nous voyons émerger chez certains gestionnaires américains l'idée de bloquer les capitaux de leurs investisseurs pendant au moins deux ans", explique un gérant français, http://www.polopascherpolo.com - polo ralph lauren femme . De fait, la SEC a choisi de ne pas tenir compte des fonds qui pratiquent de la sorte avec leurs investisseurs.En matière de "hedge funds", le gendarme américain des marchés n'est pas particulièrement en avance. En 2005, son équivalent britannique, la Financial services authority (FSA), a pris des mesures équivalentes pour les fonds anglais les plus importants en termes d'encours.En France, l'Autorité des marchés financiers (AMF) a pris le parti, dès 2003, d'autoriser des "hedge funds" français, mais d'en encadrer la commercialisation auprès des particuliers. Six statuts de fonds sont désormais à disposition des gérants. Ils diffèrent par le degré de risque qu'ils sont autorisés à prendre.Les particuliers
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